Mais comment fait-il ? Comment Marc Restellini parvient-il à attirer 4 000 visiteurs chaque jour à la Pinacothèque de Paris, anciens entrepôts de l’épicerie Fauchon ? 4000 clients prêts à descendre dans une cave pour y admirer, dans la pénombre chère aux maîtres bataves, un Vermeer et six Rembrandt parmi les 126 oeuvres, empruntées pour l’essentiel au Rijksmuseum d’Amsterdam.