D’un côté, Marc Restellini, patron de la Pinacothèque, institution en plein essor. De l’autre, Fabrice Hergott, directeur du musée d’Art moderne de la ville de Paris. Culture privée, culture publique: à chacun sa méthode. Face-à-face.
En trois années d’existence, la Pinacothèque est devenue l’un des musées les plus fréquentés de la capitale. Les expositions de l’institution privée concurrencent même les « blockbusters » du Grand Palais, du Louvre ou du Centre Pompidou.