Bouillonnant d’idées, ennemi de la langue de bois, Marc Restellini ne va pas sans irriter un certain establishment. Le succès du directeur de la Pinacothèque de Paris semble d’autant plus insolent qu’il le sert sur un plateau d’argent à ses détracteurs. Beaucoup de bruit entoure cet historien d’art, petit-fils du peintre Isaac Antcher, que ne rêve en réalité que de contempler les toiles. Rencontre.